C’est le Seigneur Jésus lui-même qui se rend visible dans le sacrement, qui nous prend par la main, nous caresse comme il le faisait avec les malades et nous rappelle que désormais nous lui appartenons et que rien – ni même le mal et la mort – ne pourra jamais nous séparer de Lui.
(Pape François)
Célébration de l’Onction des Malades:
Dimanche 26 mai 2019 à 14h00
En l’église Saint-François-Xavier
(2180 Boulevard Père-Lelièvre, Québec, QC G1P 2X3)
Au cœur de son action, Jésus gardait une place spéciale pour les malades, les infirmes et les mourants. Il avait le don d’apporter la consolation et la guérison, de calmer les cœurs et les esprits, de révéler la présence amoureuse et miséricordieuse de Dieu dans des situations humainement vides d’espérance.
Dès le début de l’Église, les Apôtres ont voulu imiter sa tendresse et sa compassion pour personnes atteintes par la maladie. Un texte du Nouveau Testament rend témoignage à cette pratique : « L’un de vous est-il malade? Qu’il fasse appeler les anciens de l’église et qu’ils prient après avoir fait sur lui une onction d’huile au nom du Seigneur. » (Jc 5,14)
Comme l’explique le Pape François, « le prêtre et ceux qui sont présents lors de l’Onction des malades représentent toute la communauté chrétienne qui, comme un seul corps, se rassemble autour de celui qui souffre et autour de ses proches, alimentant en eux la foi et l’espérance, et les soutenant par la prière et la chaleur fraternelle. »
J’AVANCE
Le temps de la maladie ou l’accompagnement d’un proche nous donne parfois la sensation d’emprunter un sentier périlleux qui donne le vertige. C’est à ce moment qu’une présence aimante procure la confiance et la force d’avancer. Alors peut surgir l’espérance d’une percée lumineuse car… Avec toi, j’espère, j’ai confiance et j’avance.